Un schéma qui se répète. Un réveil sans réveil. Un ciel gris, assez pour arracher un soupir, pas assez pour démotiver. Une journée avec pas grand chose. Un détour par le marché pour faire des emplettes de ménagère et boire un soda en terrasse du Parisien désertée. Puis le Musée d’Art, à l’ouverture ou presque — le meilleur moment. Et là, d’autres motifs, d’autres schémas qui se répètent.
Tournicoti
Tournicota
50 nuances de gris
Des couleurs d’un côté, des lignes de l’autre
I miss my pre-internet brain
Un après-midi à cuisiner en écoutant des podcasts. La porte d’entrée grande ouverte malgré la fraîcheur; la vapeur de l’eau qui bout dans la casserole; l’odeur de la cuisson au four; la part du cuistot qui alimente ledit cuistot tout du long; les pauses clope sur le pas de la porte. Puis la fin d’après-midi et l’envie de flâner qui est toujours là, comme le gris.
Quelques minutes de trajet à hésiter encore un peu et l’île de Nantes et les badauds et les glaces et les poussettes et les enfants et les parents et OH PUTAIN CON D’ÉLÉPHANT TU M’AS FAIT FLIPPER CON DE CON.
La bête
Les anneaux encadrent le ciel et ça va mieux.
Nuages-sur-Loire, 2025
Puis le bitume et le ciel se disputent l’attention.
Le bitume I
Le ciel I
Le bitume II
Le ciel II
Le bitume III
Tabarly porte tout le monde à bout de bras — à bout de câbles.
À bout de bras
Vexés, les murs chuchotent pour attirer le regard.
nik tout…
… c’est la fête
De celle sur la pointe des pieds pour sentir les fleurs d’un bosquet à ceux qui s’activent autour des manèges, la population qui déambule ramène irrémédiablement vers le centre.
Le doux parfum des fleurs
Le calme plat du canal
La tour qui veille
Mickey Boy
À la maison, devant l’ordi, tu tries, tu jettes les déchets pour ne garder que quelques clichés. Pas de chef d’œuvre mais mieux — une ambiance. Des motifs, des schémas.
Tu choisis l’image qui sera la dernière, puis tu crées un nouveau document : Bas les cloches
.
Auto-portrait sur motif
Un schéma qui se répète. C’est dimanche.