Il y a quelques semaines, mon plus vieil ami a eu le bon goût de m’offrir un très joli cadeau.
Une boîte de tampons vulgaires par le tampographe Sardon.
L’objet est bien évidemment de toute beauté.
Chaque tampon est un bloc de bois, sur lequel est contre-collé le caoutchouc taillé.
Se pencher sur la boîte pour en décrypter le contenu garantit des barres de rire à s’en décoller le plexus solaire.
Dans ma générosité sans borne légendaire, et par souci pour le référencement de ce blog — coucou Google, référence-moi jusqu’au fond, j’suis pas ta mère –, une liste exhaustive des insultes s’impose (mes favorites sont marquées d’une astérisque):
Merci Google, t’es super. Tu peux reprendre une activité normale.
Les plus espiègles d’entre vous pensent peut-être la même chose que moi :
Mais quelle bonne idée pour développer des relations socio-professionnelles de qualité dans le monde du travail.
Je sais — I know. Je regarde avec malice les bloc-notes de mes collègues, pensant distraitement : un gros MYTHO
tamponné sur la page, ce serait quand même mortel…
Bonne nouvelle : de l’encre est fournie avec les tampons.